Les expositions
À venir

Pab auteur, illustrateur, éditeur, collectionneur, dessinateur, sculpteur et même enchanteur !

DU 14 JUILLET AU 31 DÉCEMBRE 2021

LES 100 ANS DE PAB

PAB aurait eu 100 ans en 2021. Un millésime à commémorer en présentant au public son travail d’artiste, ses écrits poétiques et sa production éditoriale.

Le premier étage du musée est consacré à PAB pour que chacun puisse prendre conscience de l’artiste complet qu’il était. Poète, sculpteur, dessinateur, peintre, graveur, il s’est essayé à bien des techniques. Ses thèmes de prédilection étaient les oiseaux, les silhouettes et profils, parfois dans des formats importants, parfois sous forme de miniatures. Au contact des plus grands artistes du XXe siècle, les chef d’œuvres de ces derniers ont nourris sa créativité : Picabia, Arp, Braque. On retrouve la quintessence de leurs recherches esthétiques dans certains travaux de PAB. Surtout reconnu comme éditeur, beaucoup moins comme poète et artiste, cette exposition hommage permet cependant aux visiteurs de se plonger dans un univers graphique et poétique d’une grande sérénité.

Quelques photographies de PAB et la transcription de bien des poèmes donnent au visiteur l’occasion d’appréhender différemment cet homme secret et méconnu des Alésiens eux-mêmes. Une salle consacrée aux œuvres inspirées par PAB à d’autres artistes (notamment au moment de sa disparition, comme autant d’hommages), conclue cette exposition.

Prolongeant le travail d’édition de PAB, au second étage une sélection de livres des Éditions de R

Du 13 juillet au 29 octobre 2023

Georges Braque, l’œuvre graphique

L’œuvre dessinée et gravée de Georges Braque est présenté sous toutes ses facettes d’un point de vue technique : pointes-sèches, eaux-fortes, lithographies et même gravures sur bois, mais aussi simples dessins au fusain ou au pastel gras. Sans dissocier les livres des dessins ou des gravures, l’exposition est centrée sur cette dynamique poétique, à travers quelques-uns des cycles – cubiste-mythologique- et des thématiques l’atelier et l’oiseau- qui se superposent plutôt qu’ils ne se succèdent chronologiquement. D’un cycle à l’autre, se tissent des « rapports » (c’est un autre des mots favoris de Braque) qui contribuent à réconcilier les êtres et les choses, le visible et l’invisible. C’est à ces rapports que Pierre André Benoit est particulièrement sensible.